Greenpeace a mis une jour la stratégie de TransCanada pour se gagner la sympathie du public. « TransCanada compte créer de toutes pièces une mobilisation citoyenne en sa faveur. Son objectif pour l’année 2014 est de pouvoir compter sur 35 000 partisans qui se feront entendre en commentant des articles sur Internet, en écrivant des blogues ou des messages sur Twitter ou Facebook, en envoyant des lettres aux journaux, en appelant leurs élus ou en leur écrivant, voire en intervenant aux audiences du BAPE. »
Selon le journaliste Thomas Gerbet, « la firme Edelman recommande à TransCanada de déterminer le profil détaillé des groupes d’opposants, ainsi que de dresser une liste de leurs tactiques et actions passées. Il est aussi convenu de mener des recherches fouillées en colligeant toutes les informations financières ou judiciaires susceptibles de nuire aux groupes. « Nous allons commencer avec le Conseil des Canadiens. Les autres possibilités incluent Équiterre, La Fondation David Suzuki, Avaaz et Écologie Ottawa. »